Le présent guide a pour but de communiquer quelques pratiques exemplaires en matière de rédaction de codes qui ont été mises en évidence lors de recherches pour aider les organismes du secteur public fédéral à élaborer leur code organisationnel de conduite. Les codes organisationnels doivent concorder avec le Code de valeurs et d'éthique de la fonction publique (CVEFP), conformément à l'article 6 de la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d'actes répréhensibles (LPFDAR). Les méthodes présentées ici sont qualifiées de pratiques exemplaires, mais les organismes peuvent suivre une autre méthode pour établir leur code de conduite organisationnel. Nous les encourageons également vivement à collaborer et à s'échanger leurs pratiques exemplaires.
D'après les recherches, le processus suivi pour la conception d'un code est tout aussi important que le contenu obtenu.1 En fait, il n'est possible d'obtenir un contenu convenable qu'en employant le bon processus de conception qui a également des répercussions sur la réussite de l'acceptation ou de l'intégration de l'instrument.2
Afin de faciliter l'élaboration de codes organisationnels de conduite et de favoriser l'uniformité avec le CVEFP ainsi que la personnalisation nécessaire de l'annexe B de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat du CT3 le Bureau du dirigeant principal des ressources humaines (BDPRH) a également conçu un modèle de code organisationnel de conduite (modèle de code) qui peut servir d'exemple pour l'élaboration de votre code organisationnel de conduite et vos exigences en matière de conflit d'intérêts. Vous trouverez également une liste d'autres options structurelles dans l'annexe A.
Il est bien connu qu'un solide leadership est un facteur essentiel à la création d'une culture éthique au travail. Les employés s'attendent à ce que les dirigeants communiquent les valeurs et l'éthique de l'organisme, mais également à ce qu'ils donnent l'exemple. En établissant un code organisationnel de conduite, les administrateurs généraux et la haute direction peuvent illustrer leur leadership en matière de valeurs et d'éthique. Leur participation peut aider à accroître la visibilité du code de conduite au sein de l'organisme, à s'assurer qu'il est harmonisé avec la vision et les objectifs stratégiques de l'organisme et à faciliter le processus d'approbation.
Afin d'accroître l'efficacité d'un code organisationnel de conduite, il faut s'assurer qu'il correspond à l'ensemble des employés qui y sera assujetti. Il est donc important de mettre sur pied une équipe multidisciplinaire et diversifiée qui représente les principaux intervenants et dont la diversité cognitive et culturelle ressemble à celle de l'organisme. S'il n'est pas possible de mettre sur pied une équipe multidisciplinaire, les divers groupes fonctionnels et d'intérêt particulier de l'organisme doivent au moins être consultés afin de connaître leurs besoins. Cette mesure facilitera le processus de validation auprès des employés, étant donné que la réflexion sur les valeurs, les risques éthiques et les comportements attendus feront partie de la diversité de la main-d'œuvre de l'organisme.
Les objectifs du code de conduite doivent être établis dès le départ, car ils influent sur les choix relatifs au contenu présenté dans le code. Ces objectifs sont normalement énoncés au début du code, afin d'expliquer aux employés ce que l'organisme souhaite réaliser avec son code. Les objectifs doivent être liés aux résultats escomptés qui permettront d'analyser l'efficacité du code afin de déterminer si les objectifs sont atteints.
L'exigence prévue par l'article 6 de la LPFDAR, « l'administrateur général établit un code de conduite applicable à l'élément du secteur public dont il est responsable », permet de prendre les valeurs de haut calibre du secteur public et les comportements prévus contenus dans le CVEFP et de déterminer si d'autres orientations sont nécessaires pour n'importe lequel de ces comportements afin de s'assurer que les employés savent comment ils renvoient à leurs responsabilités quotidiennes.
La première étape de l'élaboration d'un code organisationnel de conduite consiste à déterminer les aspirations de l'organisme, comme son but, son pouvoir, ses obligations, ses fonctions et ses responsabilités. Certaines de ces aspirations sont clairement définies dans les lois du Parlement, l'énoncé de vision, les plans d'activités et les rapports sur les plans et les priorités.
Une fois les aspirations déterminées, l'organisme doit entamer les consultations auprès des employés sur leurs valeurs organisationnelles essentielles en utilisant les valeurs du secteur public du CVEFP comme point de départ. Les organismes qui ont déjà un code peuvent se servir de leur code et du CVEFP. Ces consultations organisationnelles peuvent révéler d'autres valeurs importantes en plus de celles du secteur public ou valider celles qui figurent déjà dans votre code organisationnel. Les organismes sont invités à déterminer si la valeur ou le comportement peut être situé dans le cadre du CVEFP existant. Toutefois, les administrateurs généraux peuvent ajouter d'autres valeurs qui n'apparaissent pas dans le CVEFP s'ils les jugent suffisamment importantes, à condition que la valeur concorde avec le contenu existant du CVEFP, comme l'exige la LPFDAR. Les valeurs essentielles déterminent ce que représente l'organisme et les principes qui lui permettront d'atteindre ses objectifs.
Vous trouverez ci-après deux exemples de la façon d'adapter un code organisationnel de conduite d'après les énoncés de valeurs du CVEFP.
Intégrité
Les fonctionnaires servent l'intérêt public en…
Énoncé du CVEFP
Suivre toutes les étapes possibles pour éviter et résoudre tout conflit d'intérêts réel, apparent ou potentiel entre leurs responsabilités officielles et leurs affaires privées dans l'intérêt du public.
Exemple d'énoncé de code organisationnel de conduite
Musée des beaux-arts du Canada - Code de conduite
Tout employé qui apprend la mise en vente d'un objet d'art qui pourrait raisonnablement intéresser le Musée pour ses collections doit placer l'intérêt du Musée avant le sien en ce qui a trait à l'acquisition de l'objet.
Énoncé du CVEFP
Faire en tout temps preuve d'intégrité et agir d'une façon qui saura faire face à l'examen du public le plus minutieux; une obligation qui ne peut pas être entièrement satisfaite en respectant simplement la loi.
Exemple d'énoncé de code organisationnel de conduite
Code de conduite de l'Agence du revenu du Canada (11 juin 2009)
Lorsque vous personnalisez le code en fonction des besoins de l'organisme, il est important d'accorder une attention particulière aux secteurs de risque où le comportement peut ne pas concorder avec les valeurs organisationnelles ou du CVEFP afin d'accroître la pertinence ou l'efficacité du code. L'évaluation des risques doit comporter un examen des secteurs de risque de conflits d'intérêts. Pour les organismes de l'administration publique centrale, il s'agira de renseignements qui peuvent être utilisés pour la personnalisation de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat (voir Annexe B).
Voici quelques exemples des types d'information qui peuvent être traités dans une évaluation des risques :
Des évaluations du risque efficaces sont réalisées en collaboration avec la haute direction et validées par les cadres intermédiaires. Les stratégies d'atténuation doivent être élaborées pour traiter les risques déterminés. Les normes de conduite peuvent alors être extrapolées de ces stratégies d'atténuation.
Les normes de conduite offrent des renseignements supplémentaires sur le comportement organisationnel par rapport aux valeurs et aux comportements prévus énoncés dans le CVEFP. Elles peuvent favoriser les bonnes actions en incitant au comportement exemplaire ou décourager les mauvaises actions en indiquant les activités ou les comportements qui ne seront pas tolérés.5
Les organismes peuvent ajouter des normes de conduite au besoin pour traiter les secteurs de risques organisationnels particuliers ou simplement « traduire » une valeur ou un comportement attendu en chose précise à faire ou ne pas faire. En plus de ces normes de conduite, les organismes pourraient vouloir fournir des exemples, comme à la section 4(a) de ce document, qui fournit des extraits de codes organisationnels de conduite existants pour montrer comment opérationnaliser les comportements prévus pour la valeur Intégrité.
Il est connu que chaque organisme du secteur public fédéral a sa culture et ses exigences opérationnelles propres. Le code organisationnel de conduite doit donc en tenir compte, sans négliger les valeurs et les comportements prévus par le CVEFP. La culture organisationnelle peut également influer sur les décisions relatives au ton et à la langue du code organisationnel. Par exemple, une langue axée sur la conformité utilisant des « devrait » ou « doit » conviendra mieux à certains organismes, tandis que d'autres préféreront une langue inclusive.
Pendant la rédaction du code organisationnel, il est important de tenir compte du public visé en évaluant notamment les données démographiques sur la main-d'œuvre (p. ex. niveau d'éducation, cultures, etc.) Le document aura ainsi plus de chance d'être lu, accepté, compris et mis en œuvre par le public ciblé.
Un code organisationnel de conduite efficace est élaboré en consultant les employés et les agents négociateurs. Une fois l'ébauche du code de conduite achevée, il est nécessaire d'en valider le contenu auprès des intervenants par des consultations pertinentes. Cette mesure permettra de s'assurer que les valeurs et les comportements prévus correspondent aux employés et à leur environnement de travail. Il s'agit également d'une excellente occasion pour la haute direction de faire participer les employés à un dialogue sur les valeurs et l'éthique et de faire participer l'organisme au maintien d'une culture éthique au travail. Ces consultations permettront également de déterminer les secteurs nécessitant une sensibilisation accrue, de la formation ou d'autres discussions pendant la phase de mise en œuvre du code organisationnel.
L'élaboration d'un code de conduite pertinent pour l'organisme est une première étape importante pour renforcer et créer une culture éthique. Les autres facteurs importants sont le leadership, la communication, l'apprentissage, l'encadrement et la gestion du rendement. Les organismes sont invités à examiner attentivement la façon dont leur code sera mis en œuvre afin de maximiser son efficacité.
Les valeurs de l'organisme évoluent au fil du temps et les codes de conduite doivent être examinés et ajustés périodiquement pour tenir compte de cette réalité. Le suivi et l'évaluation permanents du code aideront l'organisme à déterminer la mesure dans laquelle le code atteint les résultats escomptés.
Vous trouverez un résumé détaillé de la recherche sur les pratiques exemplaires sur la mise en œuvre à l'annexe C de ce document.
Complément d'information
Pour toute question ou si vous souhaitez obtenir un complément d'information sur la rédaction d'un code de conduite, n'hésitez pas à communiquer avec Mary Anne Stevens, directrice des valeurs et de l'éthique; Prix et reconnaissances, au 613-948-9837 ou MaryAnne.Stevens@tbs-sct.gc.ca.
Les trois options décrites ci-après illustrent quelques-unes des méthodes de structuration des codes organisationnels de conduite. Elles ne sont toutefois pas exclusives. Les organismes doivent déterminer la structure qui correspond le mieux à leurs besoins en s'assurant que leur code respecte le Code de valeurs et d'éthique de la fonction publique (CVEFP) et qu'il concorde avec l'organisme, conformément à la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d'actes répréhensibles (LPFDAR). Les organismes ne peuvent pas simplement adopter le CVEFP en guise de code de conduite.
Chapitre 1 : CVEFP
Chapitre 2 : Code organisationnel de conduite
Chapitre 3 : Orientation sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat destinée aux employés (Annexe B de la nouvelle Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat adaptée aux procédures organisationnelles, etc.)
(Remarque : vous pouvez inverser les chapitres 1 et 2)
Avantages
Inconvénients
Avantages
Inconvénients
Chapitre 1 : CVEFP et code organisationnel de conduite intégrés.
Chapitre 2 : Orientation détaillée sur les conflits d'intérêts
Avantages
Inconvénients
Avantages
Inconvénients
La présente annexe fournit de l'orientation aux organismes de l'administration publique centrale (APC) sur la façon de personnaliser les exigences sur les agents supérieurs en matière de divulgations de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat par rapport à leur organisme. (Les autres organismes peuvent utiliser le présent guide pour rédiger leurs exigences sur les conflits d'intérêts). Vous trouverez d'autres conseils sur les secteurs qui nécessitent une personnalisation organisationnelle dans le document intitulé Modèle de code organisationnel.
En vertu de la nouvelle Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat, les organismes de l'APC doivent déterminer et gérer les risques opérationnels relatifs aux conflits d'intérêts et à l'après-mandat liés à la mission particulière de leur organisme. Ils doivent donc modifier les exigences pour les employés prévues par l'annexe A de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat.
En ce qui a trait à la détermination du secteur chargé de la personnalisation de l'annexe A de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat, les pratiques exemplaires suggèrent de choisir le même groupe responsable de la rédaction du code organisationnel de conduite. Si ce n'est pas possible, il est au moins impératif qu'une source d'information essentielle provienne du processus d'évaluation des risques utilisé pour la rédaction du code organisationnel de conduite - voir l'étape 4 B ci-dessus).
L'examen des secteurs de risques organisationnels en matière de conflits d'intérêts vous fournira les renseignements dont vous avez besoin pour cibler les secteurs qui nécessitent votre attention et qui doivent être visés par les exigences. Veuillez prendre note que d'autres exigences ne seront pas toujours requises étant donné que l'atténuation des risques peut simplement consister à informer les employés des exigences par le biais de la formation et du dialogue.
En ce qui a trait aux secteurs de risque liés à l'après-mandat, en vertu de la Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat, les organismes doivent déterminer les postes qui pourraient faire l'objet de la période de restriction d'une année.
Afin de déterminer les postes qui pourraient faire l'objet de la période de restriction d'une année, la pratique exemplaire consiste à comparer les secteurs fonctionnels aux groupes et aux niveaux. Par exemple, les agents de passation de marchés seront assujettis à la période de restriction d'une année pendant laquelle ils ne pourront pas travailler dans une entreprise avec laquelle ils faisaient d'importantes affaires alors qu'ils occupaient leurs fonctions. Normalement, les postes de direction seront désignés à risque compte tenu de leurs pouvoirs décisionnels.
Les organismes doivent fournir des modèles et des procédures de production de rapports à leurs employés. Les étapes doivent être clairement présentées et communiquées aux personnes responsables du traitement et de la prise de décisions et versées aux instruments de délégation de pouvoirs. Le modèle ou le rapport (anciennement les rapports confidentiels) doivent fournir de l'orientation sur la façon de remplir le rapport et sur les renseignements demandés. Les coordonnées de la personne-ressource pour les employés qui ont besoin d'information doivent également être indiquées.
1. Carson, A. Scott; Baetz, Mark; McGill, Shelley. 2008, Codes of Conduct in the Private Sector: A Review of the Academic Literature from 1987 to 2007, pp. 26
2. Schwartz, Mark S. 2004, « Effective Corporate Codes of Ethics: Perceptions of Code Users », The Journal of Business Ethics, 55: pp.323-343.
3. Gibbs, E. 2003, « Developing an Effective Code of Conduct », Financial Executive, 19 (4), pp.40-41.
1 D'après les recherches, les codes peuvent être plus efficaces si leur conception illustre les principes adoptés (Carson, Baetz, McGill : 2008, p. 26)
2 La participation des employés au processus de conception du code permettra d'augmenter les chances que le contenu du code semble pertinent et réaliste aux employés (Schwartz: 2004, p.332).
3 La Politique sur les conflits d'intérêts et l'après-mandat du CT s'applique aux organismes au centre de l'administration publique. Les autres organismes peuvent choisir de l'utiliser comme guide pour ajuster leurs exigences en matière de conflit d'intérêts.
4 Les deux exemples suivants qui illustrent la façon dont la valeur de l'intégrité peut se traduire en attente comportementale dans un code organisationnel sont fournis à titre de démonstration uniquement. La formulation utilisée pour le CVEFP en est au stade d'ébauche et pourrait donc faire l'objet de modifications.
5 Selon les recherches, il est important de fournir des exemples pertinents pour assurer l'efficacité du code de conduite (Gibbs, 2003; Schwartz, 2004).
6 D'après les recherches, les codes peuvent être beaucoup plus efficaces si leur élaboration illustre les principes adoptés [Trad] (Carson, Baetz, McGill: 2008, p. 26)
7 Le fait d'inciter les employés à participer au processus d'élaboration du code augmentera les chances qu'ils trouvent le contenu pertinent et réaliste [Trad] (Schwartz: 2004, p.332).
8 Chemla-Lafay, A. et Deleplace, M.T. « Performance de la fonction ressources humaines : Étude comparative » (Institut de la Gestion Publique et du développement Économique, 2007).
9 Ferrell, O.C. « A Framework for Understanding Organizational Ethics » dans Business Ethics: New Challenges for Business Schools and Corporate Leaders (Sharpe, New York: 2005).
10 Lowe, G. « Organizational Culture and Performance Excellence: A Discussion Paper » (envoyé à l'Agence de la fonction publique du Canada, le 31 mars 2009), p.42.
11 Lowe, G. « Organizational Culture and Performance Excellence: A Discussion Paper » (envoyé à l'Agence de la fonction publique du Canada, le 31 mars 2009), 42.
12 Ibid. p.34; Stevens, B. (2008) « Corporate ethical codes: Effective instruments for influencing behavior » Journal of Business Ethics, 78, p. 603.
13 (Ferrell: 2005).
14 Professional Accountants in Business Committee, « Defining and Developing an Effective Code of Conduct: Proposed Good Practice Guidance » (novembre 2006), accessible en ligne : http://www.imanet.org/pdf/CC.pdf
15 Ibid.
16 Schwartz, M.S. (2004) « Effective Corporate Codes of Ethics: Perceptions of Code Users », The Journal of Business Ethics, 55: p.332.
17 Klebe Trevino, L. et coll. « Moral Person and Moral Manager: How executives Develop a Reputation for Ethical Leadership », California Management Review, 42: 4, été 2000.
18 Navran, F. « Seven Steps For Changing The Ethical Culture Of An Organization » (Ethics Resource Center 2003).
19 (Schwartz: 2004, p. 332).
20 (Ferrell: 2005).
21 (Schwartz: 2004, p. 332).
22 Ibid.
23 Rio Tinto, « Our Approach » (2010), accessible en ligne : http://www.riotinto.com/ourapproach/17215_employees.asp
24 Wee, H. « Corporate Ethics: Right Makes Might », Business Week, Commentary (11 avril 2002).
25 Extrait de « Creating A Workable Company Code of Conduct » (Ethics Resource Centre: 2003).
26 Professional Accountants in Business Committee, « Defining and Developing an Effective Code of Conduct: Proposed Good Practice Guidance » (novembre 2006) accessible en ligne : http://www.imanet.org/pdf/CC.pdf
27 (Schwartz: 2004, p.334).
28 Lowe, G. « Organizational Culture and Performance Excellence: A Discussion Paper » (envoyé à Agence de la fonction publique du Canada, le 31 mars 2009).
29 Ibid.
30 The Australian Public Service Commission, « Embedding the APS Values » (2003) accessible en ligne : http://www.apsc.gov.au/values/values.pdf
31 (Lowe: 2009).
32 Professional Accountants in Business Committee, « Defining and Developing an Effective Code of Conduct: Proposed Good Practice Guidance » (novembre 2006), accessible en ligne : http://www.imanet.org/pdf/CC.pdf
33 (Lowe: 2009).
34 Ibid.